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A mon propos

Glaudel, Qu’avez-vous fait de la photographie ?

Bio

A cette question posée il y a longtemps :

J’ai répondu : 

Puisse être la photographie, à ce que je me dévoue 

Elle est le chant de mon âme, le cri de mon amour fou,

Elle m’invite à voir autrement la splendeur du monde,

À saisir l’invisible, à rêver intensément chaque seconde.

 

Dans l’éclat du jour, une complice éternelle,

La photographie en harmonie, ma muse étant fidèle,

Depuis des décennies, elle est tellement assidue,

Dans les méandres de ma vie, je me sent moins Perdu.

 

Sortir de l’école de photos, un jour ensoleillé,

Comme quitter une mairie, les corps enlacés,

Dans cet instant, elle se révèle alors à moi,

Pour le meilleur, pour le pire, elle Flamboie.

 

Chaque jour, notre relation se métamorphose,

Tour à tour passionnée, parfois morose,

son interprétation d’ombres et de lumières en secret

me captive, m’émeut, m’éclaire de son feu sacré

 

j’aime m’adonner à la photographie, elle est mon regard,

Ensemble, nous bravons les plus noirs brouillards,

Elle me guide, m’inspire, me pousse à l’inattendu,

À révéler la beauté cachée, auprès de l’inconnu

 

Je suis son témoin, elle, concubine de mon coup d’œil,

Ensemble, nous explorons les différents orgueils,

véhémente, Elle me pousse, m’invite à l’accidentel,

À saisir l’instant, le réel et le confidentiel

 

chaque pixel est un fragment d’immortalité,

La photographie devient source de vérité,

Elle est bien plus qu’un trop simple cliché,

Elle capture l’instant et en fait une éternité,

 

Elle est le reflet de mes joies, de mes tourments,

Ma maitresse, écho de mes sentiments.

Dans la danse des pixels, mon œil se promène,

La photographie, une muse fertile, m’entraîne.

 

Dans la danse des ombres et des lumières,

Je me découvre, je me perds, je m’éclaire,

La photographie, compagne de mes jours,

Miroir de mon âme, de mes amours.

 

Elle est ma complice, ma grande confidente,

Dans ses reflets, je trouve ma voie à prendre,

La photographie, écho de mon essence,

Dans son regard, je trouve ma réminiscence.

 

Elle parle en images, elle séduit en silence,

Elle raconte des histoires, elle danse avec la chance,

Elle est mon alliée, ma complice, ma reine,

La photographie, éternelle et souveraine

 

Car ce que j’ai commis avec la photographie,

C’est un hymne à la vie, une symphonie infinie.

Dans son écrin d’argent, elle se pare de grâce,

Capturant les regards, les gestes, les traces.

 

Ainsi, dans chaque clic, dans chaque pose,

Ma maitresse révèle et bien sûr elle ose

Elle me laisse caresser son corps sensible,

Capturant les blessures, les traces indélébiles.

 

Ma garce capricieuse, m’offre son corps pour pouvoir éclairer,,

Et enlacer d’un sourire ce, celui ou celle que je vais opérer. 

Je laisse sa bouche parler en mon nom à mon semblable 

pour le convaincre d’être mon prochain photographiante.

 

Dans mes images passées, je cherche mon apaisement,

Quand ma garce volage, parfois, prend un autre amant.

Peu m’importent ses tours pour m’humilier,

Je sais qu’elle reviendra, fidèle, à mon côté.

 

Elle peut danser avec d’autres, plus visibles, plus clairs,

Mais je sais qu’au final, c’est moi qu’elle préfère.

Peu importent les jeux de cette égérie changeante,

Dans l’ombre de ses gestes, je trouve ma lumière ardente.

 

Tour à tour, elle m’enivre de ses éclats,

Comme les premiers émois, comme un sépia.

Puis parfois, elle me plonge dans la nuit,

Ma putain triste, comme une mélancolie. 

 

Elle est la gardienne des portes du passé,

Son nom évoque les vies, les rêves effacés, 

Elle ouvre les chemins du présent éclatant,

Pour ceux qui savent la voir, la sentir, dans l’instant.

 

Plutôt que de vivre dans le passé, nostalgique,

Je sculpte le présent, en quête d’épique.

Je la conjugue au futur, dans mon esprit,

Elle est mon miroir, ma voix, mon cri,

 

Et prononcer son nom m’ouvre des portes du présent, 

habituellement inaccessibles pour les regards méprisants.

Je vis en compagnie de celle qui tient les clefs du temps,

Dans ses images, je pose mon empreinte, juste à temps. 

 

Ce que la photographie a fait de moi,

C’est de me donner des ailes, de m’élever parfois,

Elle m’a appris à regarder, à ressentir,

À capturer la beauté, à en devenir le miroir.

 

Ce qu’a provoqué la photographie en moi

C’est de révéler mes rêves, mes émois,

Elle m’a enseigné à voir, à ressentir intensément,

À capturer l’émotion, à en provoquer l’instant

A la question posée par mon école de photographie d’Arles il y a longtemps :

 » Qu’avez-vous fait de la photographie ? « 

J’ai répondu aussi cela plutot écrit en prose  identiquement :

Le plus approprié pour moi serait d’utiliser une image :
La photographie est ma seule fidèle compagne depuis plus de trente ans!

Sortir de l’école d’Arles fut comme sortir d’une mairie bras dessus bras dessous, en plein soleil, pour le meilleur et pour le pire.

Je passe donc ma vie en sa compagnie, où chaque jour est une relation ambiguë. Cet attachement quotidien change en fonction de l’humeur et se joue de moi. Cette fréquentation d’avec elle et la lumière m’évoque soit la fougue des premiers émois, ou la lassitude éprouvée face à ma putain triste, soit encore cette émotion très forte qui va à l’encontre de la raison.

J’aime m’adonner à la photographie, concubine de mon regard, Je vis de l’espoir qu’elle nourrit en me suggérant chaque nouveau jour que fait le soleil, de concevoir ensemble la meilleure de mes photographies. Je la laisse se muer en agent versatile et par là même me grimer en bon ouvrier de l’image pour me porter naturellement à sculpter et façonner le réel à l’imaginaire de mes idées.
En muse fertile, elle m’offre son corps pour saluer d’une image, enlacer d’un sourire ce, celui ou celle que je vais opérer. Je laisse sa bouche parler en mon nom à mon semblable pour le convaincre d’être mon prochain photographié.

Que je renseigne un paysage ou un visage, mon amante maîtresse me laisse caresser son corps à l’épiderme palpitant, enclin à restituer les blessures et les cicatrices, les empreintes de mes sujets. Je vis avec celle qui détient les clefs des portes du passé et prononcer son nom m’ouvre celles du présent, habituellement inaccessibles pour le commun des regards.

Je trouve le réconfort dans mes images déjà faites quand il advient que mon égérie tragique me soit infidèle avec un autre, plus ostensible et manifeste. Peu importe ses intrigues pour m’humilier, je sais qu’elle me reviendra et me donnera – encore et encore – plaisir à voir ainsi qu’à l’autre qui m’a ravi pendant ce moment décisif, ma garce volage.

Plutôt que de conjuguer au passé nostalgique comme j’ai perçu la question en la lisant, Je préférerai aborder cette phrase au présent: Que fais-je de la photographie ? Et plutôt encore vous dire ce que la photographie a fait de moi. Mais vraiment, ce que j’ai commis avec la photographie, ce sont les images que je conçois avec elle et qui donnent le mieux la réplique à l’interrogation posée.

Ensemble, élaborons des commandes.

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